La Nouvelle République : « En Loir et cher, des métiers que l’on ne connaissait pas se développent »

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« Autant je n’aimais pas aller au « salon de coiffre », enfant, autant j’ai toujours été fascinée par cette capacité à travailler le cheveux. Avez-vous déjà tenté de vous les couper vous-mêmes ? »

Extrait de l’article de la Nouvelle République :

Tout plaquer pour le compostage, la marqueterie de paille ou la médiation animale : au sein de la pépinière d’entreprises de la BGE 41, émergent de nouvelles professions « hors norme », en quête de sens et de viabilité économique.
Quoi de mieux qu’un bord de piscine pour parfaire son carré plongeant ? Afin d’allier coiffure et air de vacances, Stéphanie Boireau a pris ses quartiers au showroom privé Maé Jo de Villebarou, le temps d’un après-midi de juillet.

Affairée à parfaire le dégradé d’une cliente, la coiffeuse free-lance remonte aux racines du Salon qui bouge : « J’ai été en couveuse d’entreprises pendant 5 mois, pour tester mon activité tout en étant accompagnée ». La fin de l’été sonne ainsi l’avènement « du grand saut » qui la verra voler de ses propres ailes.

Pour nombre des 46 entrepreneurs suivis dans le cadre de la couveuse en 2022, la pandémie de Covid-19 a fait office de déclencheur, en questionnant le sens du travail. « Après 7 ans en salon classique, j’ai voulu m’orienter vers un métier plus en phase avec les enjeux écologiques », illustre la trentenaire. Seule coiffeuse en itinérance du département à disposer d’une charte éco-engagée, la Loir-et-Chérienne, originaire de Noyers-sur-Cher, propose des coupes à sec, en collectif, avec recyclage des cheveux à la clef.

Lien de l’article ici